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"Et de se demander au fond de quelles crevasses, de quelles tanières se terrait cette troupe infirme d'estropiés et d'aveugles. Ici peut-être au faîte de ces vieilles maisons étroites entre Holborn et Soho; les gens y portent des noms si bizarres, y exercent des métiers si étranges, batteurs d'or, plisseurs d'accordéons, couvreurs de boutons (...) c'est là qu'ils gîtent et, à passer ses jours avec le plisseur d'accordéon ou l'homme qui recouvre les boutons, la dame au manteau de phoque doit trouver la vie supportable" (in "Au hasard des rues. Une aventure londonienne" (nouvelle)) "Et tout le temps qu'elle pouvait apercevoir des petits morceaux de sa robe jaune, dans le miroir circulaire qui les transformait en boutons de chaussures ou en têtards de toutes dimensions, (...) et Mrs Holman (le bouton noir) avait beau se pencher en avant (...) elle pouvait aussi la voir, tout à fait détachée dans le miroir (...). (in "La robe neuve" (nouvelle) Woolf Virginia , La mort de la phalène, Seuil, 1982, pp. 132; 170-171 (Trouvé-choisi par Claude Leroux)