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"Par exemple, je suis persuadée que pour certaines Ya-Ya Jolies Smoke Gets in Your Eyes n’était qu’une comptine. Quand maman nous demandait en chantonnant de boutonner nos manteaux parce qu’il soufflait une bise froide et de faire attention parce que You Belong to Me, nous pensions qu’elle venait d’inventer cette rengaine pour l’occasion." "Baylor était le plus élégant de nous tous. il avait persuadé maman de lui cheter une veste marron à la Nehru vec des boutons dorés.Elle était un peu trop grande pour lui : deu coup sa tête flottait dans le col et lui donnait l’air d’une tortue indienne." Rebecca Wells , Fleurs de ya-ya, Belfond, Paris, 2005, pp.71,194