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" Le colonel Ravaska était descendu en courant dans la rue, avec deux autres officiers, pour réceptionner le capitaine suspendu qui avait commencé à glisser lentement le long de la gouttière. Ses bretelles s'étaient distendues au point de mesurer près de deux mètres. Finalement, les boutons avaient cèdé et il avait dévalé dans les bras qui l'attendaient en bas. Il s'était bien entendu trouvé des badauds pour passer par là." Arto Paasilinna, La douce empoisonneuse, éd. Folio n°3830,Paris 2003, p 63 (Trouvé-choisi par Pascale Redureau)