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“Assis sur son petit tabouret tournant, il ôtait et remettait ses lunettes au milieu d’une oasis de fleurs sous cellophane et de paquets cadeaux, quand il ne restait plus sur les rayons, à vendre, que des pièges à cafards, allume-barbecue à bois, papier hygiénique rose pour distributeurs, sac pour congélateur et pas mal de mercerie, boutons, thermocollants sans couture - bref, que des trucs inutilisables." Florence Delay , La fin des temps ordinaires, NRF Gallimard,1996,p.68 (Trouvé-choisi par Marie-Claude Martin – Genève)